jeudi 31 décembre 2009

Pluie, verglas, froid, neige...

Quelle beauté!
BONNE ANNÉE!








dimanche 27 décembre 2009

La raquette, une tradition du 25!

L'HIVER!





Ça devient une tradition, les adeptes du plein air se réunissent le 25 décembre pour une sortie en famille: la randonnée en raquette dans la montagne. De toute beauté cette nature hivernale!










mardi 22 décembre 2009

C'est la fête dans ma tête!

Pour la fête de Noël, oui. Mais surtout aujourd'hui parce que c'est ma dernière journée dans la quarantaine.
Demain, je fête le demi-siècle. Très heureuse d'en être arrivée là sur mes deux pieds, surtout avec ce que j'ai vécu cette année!
Il me reste à apprivoiser, à apprendre à vivre avec les raideurs et douleurs de l'arthrose, les risques modérés de fractures dues à l'ostéoporose mais SURTOUT poursuivre avec la réalisation (et le changement dû aux imprévus...) de mes rêves durant cette deuxième moitié de siècle.
Que de projets à venir!

Comme j'ai un peu de peur à repartir seule pour un voyage en vélo en Europe l'an prochain, ce que j'avais planifié pour un 3 mois de congé différé, j'espère pouvoir être acceptée pour mon projet d'aide humanitaire. Départ en avril 2010, en Amérique du Sud puisque je ne veux que parler espagnol!
À suivre...

J'ai décoré pour ma fête!

lundi 21 décembre 2009

Joyeux Noël!

Le temps des Fêtes ne ressemble-t-il pas trop souvent plus à un étourdissement qu’à un approfondissement?
On offre de gros cadeaux, certains se réjouissent d’un petit présent et de doux mots.
La table n’est pas assez grande pour y déposer toute la nourriture, certains crient leur faim.
Rassemblement, isolement, éloignement, épuisement …

Je te fais cadeau d’une vidéo : les textes de Bernard Hubler avec le chant « Silent Night » interprété par Sarah McLachlan.

À toi qui a la foi : «Avant de faire le plein de décorations, de cadeaux et de tourtières, faisons le plein de silence. Quelqu’un nous parle. Si sa Parole pénètre en moi et oriente mes émotions, mes paroles et mes gestes, ma vie ne sera plus seulement des morceaux d’existence. Elle deviendra un chemin, une route, un destin.» (Georges Madore)

À chacun d’entre vous, chère famille, cher(e) ami(e), à toi de si spécial pour moi et que Dieu a placé sur ma route, je souhaite une joyeuse période des Fêtes, un Joyeux Noël et une douce Nouvelle Année.

Je pense à toi, JE T’AIME.




(Afin de mieux lire le texte de la vidéo, faire un "zoom" de la page)




mercredi 5 août 2009

Outaouais et ...


Vélo en Ouaouais et les Laurentides avec ma soeur. Avec beaucoup d'intérêt nous planifions notre itinéraire quelques jours avant le départ: Montebello - Gatineau - Shawville - Kazabazua - Maniwaki - Mont-Laurier jusqu'à St-Jérome par la piste cyclable "le petit train du Nord - et retour à Montebello. Plus de 600 km sur 8 à 10 jours.


camping à Plaisance (+ abri pour la pluie du Québec!)




jour 1: départ de Montebello

La deuxième journée aura été de courte durée, 6 km. Un accident banal (perte d'équilibre en descendant du vélo arrêté!) m'amènera d'urgence en ambulance à l'hôpital de Gatineau...
Lors de ma chute sur le derrière, j'ai senti mes vertèbres se presser l'une contre l'autre, comme on retire tout l'air d'un accordéon. Mes cours de premiers répondants m'avaient appris bien des choses, sensation dans les doigts et orteils,.... une blessure à la colonne, faut pas bouger!
L'attente des para-médics m'a paru interminable. Diagnostique: fracture de la vertèbre L3, transfert en ambulance (sur nos belles routes...) jusqu'à Québec, opération: visses et plaque.

J'ai remercié Dieu
pour m'avoir laissé l'usage de mes jambes, l'espace entre la vertèbre fracturée et les nerfs allant au jambes est minime.
J'ai reçu ce beau texte de mon amie Johanne, déjà je pensais ainsi. Je vous laisse le lire.
«Je suis une amoureuse de la réalité. Lorsque je me dispute avec elle, je perds – mais seulement à tous les coups.»– Byron Katie
Je croyais que j’allais à la plage pour y rédiger un article, samedi, mais une fois arrivée sur place, j’ai dû me rendre à l’évidence: je n’y étais pas pour écrire, mais pour regarder le plus mignon des chiots courir allégrement dans les vagues.Je croyais que j’avais besoin de soleil, dimanche, mais il semble finalement que j’avais besoin de pluie. C’est lorsqu’il a commencé à pleuvoir que je l’ai appris.J’étais censée souper avec un ami, dimanche soir… Lorsqu’il a appelé pour se décommander, j’ai tout de suite su que j’étais plutôt censée relaxer chez moi et profiter de la nouvelle machine elliptique qu’on vient de me livrer.Je croyais qu’il fallait que je me prépare des jus de légumes frais ce week-end. Mais ça a l’air qu’il ne fallait pas, finalement… Vous savez comment je l’ai découvert? En réalisant que je n’en avais pas fait, tout simplement.
Êtes-vous coincé dans un étau de «je devrais», de «j’aurais dû», de «il faudrait» et de «pourquoi je n’ai pas pu»? On pourrait discuter longuement de leur légitimité, faire la liste des raisons pour lesquelles on aurait effectivement dû faire les choses autrement (ou justifier longuement pourquoi les choses auraient dû se passer différemment)… Mais un fait demeure, au-delà de toutes ces considérations: lorsqu’on fait la guerre à la réalité, on perd. On perd chaque fois – «seulement 100 % du temps», comme le dit avec humour Byron Katie. Même si on a les meilleurs des arguments.
Fermez les yeux et faites venir à votre esprit une pensée du type «je devrais…» ou «il aurait dû…». Quel impact cette pensée a-t-elle sur vous lorsque vous la laissez vous habiter? Avez-vous un sentiment de joie et d’expansion? J’en doute fortement…
Ensuite, gardez les yeux fermés et imaginez comment vous vous sentiriez et comment vous agiriez dans la même situation si vous cessiez d'entretenir la pensée en question. Oui, pas de «j’étais censé…» ou de «il aurait fallu que…». Comment vous transformeriez-vous sans cette résistance intérieure? Remarquez les changements qui s’opèrent lorsque vous cessez de nager contre le courant et que vous embarquez sur la vague, comme un surfeur…

«Accepter les choses comme elles sont»: cela semble un peu triste, comme une défaite. Au contraire, c’est le plus grand triomphe! Comme vous l’avez probablement remarqué en faisant l’exercice, suivre le courant ouvre un espace à l’intérieur de nous dans lequel une joie pure et simple peut émerger. On s’allège, on voyage léger… On est beaucoup mieux outillé pour aller de l'avant et transformer ce qui peut être changé. On navigue finalement d’un moment à l’autre dans la paix et l’harmonie, en toute humilité… Et, surtout, en toute liberté.Je vous souhaite donc une magnifique semaine sous le signe de l’ouverture, de la douceur et de la fluidité…

En blague, j'ai dit à mes amis que je ferais une "vente de garage" : vélos et ski!

vendredi 17 juillet 2009

Lac Trois-Saumons

Vélo de montagne, kayak et "fraîcheur d'été"!
le lac Trois-Saumons

15-16 juillet

Un peu de vélo de montagne dans cette jolie région par un après-midi de la mi-juillet avec une température oscillant entre les 15-17°C.... de toute façon sous la barre des 20°. C'est ça notre été québecois!
vue sur le fleuve St-Laurent depuis le belvedère

"y fait pas chaud!"

le lendemain, kayak. Devinez si la chaleur est au rendez-vous? ;-)


dimanche 12 juillet 2009

Véloroute des bleuets + Lac Kénogami

Vive les vacances, même au Québec!
Partie le 4 juillet en voiture de Lévis pour Alma, Lac St-Jean.
De là, sous la pluie, une courte randonnéede 13 km en vélo jusqu'à Dam-en-Terre; avec courte traversée en bateau.








Le 5 juillet: Alma (secteur Delisle) - Péribonka.
60 km - nuit à l'Aubergîte au Petit Bonheur.
Belle route, nuageux et frais. Le parc de Pointe Taillon est de toute beauté!


Saint-Henri-de-Taillon


Parc national de la Pointe-Taillon

avec mes amis, Line et Alain

Péribonka au coucher du soleil






Le 6 juillet: Péribonka - Normandin.

79 km - nuit en camping au site touristique Chute à l'ours.

Très beau camping au bord des chutes avec le bruit de la rivière toute la soirée et la nuit...

Soleil et chaleur pour pédaler durant la journée, belle voie cyclable.

Je me rends compte que l'hiver sans entraînement (en béquilles durant 2 mois + réadaptation) me donnera moins d'endurance... après 80 km, contente de m'arrêter ici!




Chute Sainte-Jeanne-D'Arc


direction Dolbeau - bleuetières à volonté!

Chute à Dolbeau, Rivière Mistassini

champs à Normandin

Chute à l'ours



camping

au coucher du soleil





Le 7 juillet: Normandin - Desbiens.

82 km - nuit au camping Blanchet (Chambord).

Faible pluie au départ, nuageux et soleil pour terminer la route. Vent de face, toujours!

J'aime bien voyager avec le BOB, plus qu'avec les 4 sacoches sur le vélo.

Un peu de douleur aux genoux... normal mais désagréable, faut faire avec!


vers St-Prime: Line, moi et nos BOB!
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avec Alain et Line, St-Prime

pause, Église Roberval





Le 8 juillet: Desbiens - Saguenay secteur Jonquière, Lac Kénogami.

68 km - 2 nuits au Camping Jonquière.

Belle température chaude d'été, enfin! Belle route valloneuse.... assez difficile pour moi par endroit, manque d'endurance et de force dans les jambes pour monter les côtes... j'ai confiance que la forme reviendra avec les km de vélo!

Et mon maximum de vitesse aujourd'hui dans les descentes, 61 km/h!



Desbiens, pont (CN) construit par Alain

le lac St-Jean à Desbiens!

vers Métabetchouan

une maison où Line a vécu ???

Lac à la Croix


champs de canola - Lac à la Croix

vers Kénogami, route tranquile

camping Jonquière - tout est déjà monté!
les tentes et l'abri (pluie-moustiques)





Le 9 juillet: congé vélo, journée de kayak sur le lac Kénogami.

Comme en vélo, je n'ai pas le sens de l'orientation sur l'eau... Et oui, je me suis perdue entre les îles.

Beaucoup trop de gens sur la plage publique, je pars à la recherche d'îles désertes pour relaxer et me baigner.

Comme je n'aime pas reprendre le même trajet pour revenir, je continue ma route en pensant faire le tour de l'île... mais le temps avance (moi aussi!) et je commence à douter de la direction.

Incertitude, un peu de peur car le soleil commence à descendre, je cesse de chanter, j'appelle à l'aide avec mon sifflet (les bateaux moteur ne m'entendent pas!).

Finalement je vois sur un panneau que le camping Jonquière est à 6 km...........................

Arrivée au camping à 20:00h, fatiguée et heureuse de la journée passée en kayak.


À la recherche d'îles desertes pour la paix et....

la baignade!







Le 10 juillet: Jonquière - Alma.

Retour à l'auto, au point de départ.

57 km

Une bonne partie sur l'autoroute avec un accotement large. Ça roule bien avec mon MP3, il fait beau et chaud!

Déjà la fin, super de belle semaine entre amis.

360 km de vélo sur 5 jours, x km de kayak en x heures durant 1 journée!

Ma prochaine randonnée dans une semaine, destination ......



pause sur le bord de l'autoroute, un peu d'ombre SVP!